Vous rêvez d’un métier à la fois polyvalent et créatif ? C’est peut-être le moment pour vous de devenir graphiste ! Gros plan sur ce spécialiste de la communication visuelle, maîtrisant le langage des images.
Connaissez-vous le point commun entre une étiquette de shampoing, un prospectus ou le logo d’une marque ? Tous sont passés entre les mains d’un graphiste ! Chargé de créer des identités graphiques, il est celui grâce à qui notre œil se pose sur un visuel.
Le métier de graphiste consiste à mettre son talent artistique au service d’un produit, d’une marque, d’une entreprise, etc. Pour chaque nouveau projet, on attend de lui qu’il propose un univers graphique original. Le tout en respectant la charte graphique et les caractéristiques de mise en forme imposées par son client ou employeur. C’est à lui que revient la charge de faire parler les visuels, en envoyant le message le plus clair possible.
Au quotidien, on attend du graphiste qu’il sache remplir un certain nombre de tâches :
Pour exercer le métier de graphiste, mieux vaut être créatif et avoir de l’imagination ! On attend en effet du graphiste qu’il sache s’adapter à chaque nouveau projet, en prenant en compte les contraintes liées au public visé. On ne s’adresse pas de la même manière à des particuliers, à des professionnels ou encore à du jeune public.
Bien qu’il soit briefé par son client ou son chef de projet, le graphiste doit savoir être force de proposition. En s’inspirant de son environnement, du travail d’autres artistes et surtout des tendances du moment, il sait se démarquer et proposer des visuels impactants, tout en restant dans le cadre qu’on lui impose.
Enfin, le travail du graphiste implique également une grande rigueur et une bonne organisation. Il faut savoir tenir les délais attendus afin de ne pas mettre l’entièreté du projet en péril.
D’un point de vue technique, le graphiste doit impérativement maîtriser les logiciels de dessin, conception et publication assistés par ordinateur. On attend aussi de lui qu’il ait des notions de retouche photo, qu’il sache esquisser rapidement une idée et dessiner un projet.
Pour finir, le graphiste doit maîtriser certains impératifs techniques pour rendre ses réalisations utilisables. Contraintes d’imprimerie, poids des fichiers, résolution des images et visuels, etc., sont des notions qui ne lui sont pas étrangères.
Apprenez et/ou approfondissez ces compétences en suivant les différents cours de la formation graphiste de l’école EDAA. Conçus pour vous présenter toutes les facettes du métier de graphiste, ils vous aideront à devenir un(e) véritable pro de la création !
Le métier de graphiste n’étant pas une profession réglementée, il est tout à fait possible de devenir graphiste sans diplôme. Certains choisissent d’ailleurs d’apprendre le graphisme en autodidacte, et se forment eux-mêmes aux techniques de dessin et aux différents logiciels. Toutefois, suivre une formation dédiée est plus que recommandé pour intégrer une agence ou se lancer en tant que freelance.
Il existe plusieurs formations menant au métier de graphiste, allant du niveau bac +2 au niveau bac +5 : BTS expression visuelle option graphisme, BTS designer graphique, DNAT (diplôme national d’art et technique), licence pro en arts, DSAA (diplôme national supérieur d’arts appliqués) art et technique de la communication, Master des écoles d’art ou encore DNSEP (diplôme national supérieur d’expression plastique).
Dans le cadre d’une reconversion professionnelle, l’option de la formation en ligne offre plus de liberté. Elle permet en effet de se former à son rythme et depuis chez soi, sans être obligé(e) de retourner sur les bancs de l'école pendant plusieurs années.
Avec la formation graphiste de l’EDAA, formez-vous aux outils numériques, apprenez les bases du graphisme et du dessin, développez vos compétences, créez votre identité visuelle et découvrez comment gérer des projets professionnels !
Nicolas s’est formé à l’EDAA dans le cadre d’une reconversion professionnelle. Enseignant en primaire pendant 20 ans, il était également chargé de la communication dans une association. Il a alors eu envie d’approfondir ses connaissances dans le domaine du graphisme : "Ça me plaisait beaucoup de créer des affiches et des brochures. […] Ce que j’ai le plus apprécié durant ma formation, c’était les devoirs professionnels, et en particulier les conseils de l’équipe pédagogique. J’ai vraiment beaucoup appris au niveau méthode de travail lors de ces échanges par mail ou par téléphone." Aujourd’hui, il a créé son entreprise individuelle. "J’ai orienté mon activité autour de deux concepts : du graphisme au service des TPE, artisans et commerçants locaux, et une marque pour sensibiliser au burnout." Retrouvez son parcours complet sur notre page actualités !
« Génial ! Après avoir suivi des études d'informatique afin de finir Web Master, j'ai finalement réalisé que mon désir de création m'avait rattrapé et l'EDAA a été ma meilleure solution pour me reconvertir, l'enseignement, les travaux, les leçons... Tout y est bien expliqué et l'équipe pédagogique est très réactive ! »
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Si le salaire du graphiste varie en fonction de plusieurs facteurs, on peut toutefois estimer qu'en moyenne, un graphiste – qu’il soit freelance ou salarié, touche environ 2 230 € bruts par mois. Un graphiste junior va pouvoir prétendre à un salaire un peu plus élevé que le SMIC, quand un graphiste senior peut espérer gagner jusqu’à 4 000 € bruts par mois en entreprise.
Le graphiste freelance, quant à lui, gagne parfois plus que s’il était salarié. Tout dépend de la réputation qu’il arrive à se créer, du type de clientèle pour qui il travaille et du nombre de missions qu’il réalise chaque mois. Au bout de quelques années seulement, il peut atteindre les 4 000 € mensuels.
Source : formation-graphiste.com
Le graphiste, qu’il soit salarié ou indépendant, travaille le plus souvent depuis son bureau, sur ordinateur, tablette ou papier. En freelance, il est régulièrement en contact avec ses clients, ce qui est plus rarement le cas pour le graphiste en agence. Il est également amené à collaborer avec d’autres professionnels de l’image tels que des photographes, des infographistes, des imprimeurs ou des développeurs web.
La plupart du temps, il travaille aux heures de bureau. Mais certains projets impliquent de travailler un peu plus tard – parfois jusque dans la nuit, notamment pour respecter une deadline courte, ou pour boucler un journal ou magazine avant impression. Le graphiste freelance, quant à lui, gère son temps comme il l’entend et peut ainsi avoir des horaires très irréguliers.
L’avantage du métier de graphiste, c’est qu’il ouvre les portes de nombreux secteurs. Ainsi, un graphiste peut travailler dans divers environnements et remplir des missions spécifiques. Quelques exemples :
Malgré ces obligations de gestion, devenir graphiste indépendant offre de nombreux avantages. Ce statut permet en effet de fixer ses horaires librement, et donc d’adapter son emploi du temps selon ses besoins.
Le graphiste freelance décide lui-même de la tarification qui s’applique à chaque projet. Il peut par exemple négocier plus de missions avec certains clients, en les fidélisant grâce à un tarif attractif.
Il a également tout le loisir de créer sa propre identité visuelle et ainsi se démarquer de ses concurrents.
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Dans le domaine du design visuel, plusieurs choix de carrière s’offrent au graphiste. Si les différents métiers du graphisme sont très proches, ils ont toutefois des spécificités qui leur sont propres. Bien qu’ils créent tous des designs visuels pour différents supports de communication, ils exigent en effet des compétences techniques et permettent de se spécialiser dans divers domaines d’expertise.
Le travail d’un graphiste designer consiste principalement à concevoir des supports de communication. À l’aide de logiciels spécialisés, il élabore des affiches, logos ou encore emballages au design attractif et fonctionnel. Son but ? Communiquer efficacement son message !
Le graphiste multimédia est un spécialiste des contenus interactifs. Il travaille surtout pour des supports numériques comme les applications mobiles, les jeux vidéo ou encore les sites web. Grâce à sa maîtrise de logiciels dédiés, il donne vie à ses idées au travers d’animations, de vidéos et autres effets visuels.
Professionnel utilisant des technologies digitales au quotidien, le graphiste numérique travaille sur différents aspects de la conception digitale. Il peut notamment intervenir dans la conception d’interfaces utilisateur (UI), le développement de l’expérience utilisateur (UX), ou la création de diverses animations et effets visuels.
Le concepteur graphique, enfin, est en charge de la création de designs visuels, destinés à plusieurs supports de communication. Il se différencie toutefois des autres graphistes en se concentrant davantage sur la conception du message et l’expérience utilisateur, au lieu de mettre l’accent sur l’esthétique pure.
Le graphiste peut également, s’il le souhaite, s’orienter vers d’autres métiers dans le secteur des arts graphiques, parmi lesquels on peut citer les professions d'infographiste et infographiste 3D, de maquettiste, de web designer, de motion designer, ou encore de game designer.
L'infographiste exerce le plus souvent pour la presse écrite, le web ou encore la publicité. Fort de ses compétences en mise en page, en design et en animation, il crée des visuels percutants en utilisant des logiciels de design graphique. Il peut évoluer en tant qu'infographiste 3D et ainsi donner vie à des objets virtuels.
Contrairement au graphiste, le maquettiste ne crée pas des visuels : il conçoit des pages. Qu'il travaille pour des supports traditionnels (journaux, magazines, etc.) ou des supports numériques (sites web, applications, etc.), le maquettiste soigne la mise en page en organisant les différents éléments visuels à sa disposition.
Alors que le graphiste travaille essentiellement sur l'aspect purement visuel, le web designer doit en plus avoir connaissance des langages web. Son métier consiste à concevoir ou améliorer des sites internet, en créant tous les éléments graphiques nécessaires. L'aspect technique du codage et de la mise en ligne revient toutefois aux développeurs.
Bien que tous deux centrés sur l'animation, ces métiers diffèrent en de nombreux points. Le motion designer va principalement créer des animations visuelles destinées à la télévision, la publicité, les applications mobiles, le cinéma ou encore les réseaux sociaux. Le game designer, quant à lui, est chargé de concevoir le game play d'un jeu vidéo, afin de le rendre aussi attractif et interactif que possible.
Grâce à des cours complets, permettant d’acquérir une solide connaissance de la chaîne graphique, la formation à distance EDAA vous offre la possibilité de choisir parmi tous ces métiers !
S'il travaille au sein d'une agence, le graphiste expérimenté peut espérer évoluer en tant que directeur artistique (DA). Dans une équipe, le DA est celui qui donne le ton. C'est lui qui crée l'identité visuelle du projet et qui veille à ce qu'elle soit respectée.
S'il fait partie du service communication d'une entreprise ou d'une collectivité, le graphiste peut tout à fait envisager de devenir manager, chef de projet ou chef de service. Un poste impliquant de devoir gérer une équipe.
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